JM Messier precisa dos 20 milhões E. p/pagar hipoteca da ca
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JM Messier precisa dos 20 milhões E. p/pagar hipoteca da ca
O ex-CEO da Vivendi Universal diz que precisa dos 20 milhões de euros porque está na necessidade, que até hipotecou a casa, lol. Há cada um, é o género de argumento que não passa pela cabeça de ninguém independentemente de se concordar ou não que lhe são devidos. Só lhe fica mal.....
Messier clame son droit aux indemnités
PARIS, le 15 oct (AFP) - L'ancien PDG de Vivendi Universal (VU) Jean-Marie Messier a confirmé mercredi qu'il allait continuer à se battre pour ses indemnités de départ, estimant que son groupe n'avait "pas respecté ses engagements", et il s'est déclaré prêt à participer à une médiation sur ce sujet en France.
"VU n'a pas respecté les engagements pris vis-à-vis de moi", a déclaré M. Messier lors de son audition par la commission des Lois de l'Assemblée nationale, qui étudie les conditions de rémunération des grands patrons dans le cadre d'une mission d'information sur la réforme du droit des sociétés."Il n'est pas dans mes intentions de renoncer à mes indemnités", a martelé M. Messier, qui a quitté la présidence de VU en juillet 2002.
"J'en ai besoin car j'ai hypothéqué ma maison'"
"Sur le principe, je me bats pour mes indemnités car elles sont légitimes et le fruit d'un contrat de travail et d'un accord à l'initiative des administrateurs de VU à l'époque", a-t-il dit.
"Deuxièmement, parce que le respect de la signature, c'est le respect de la base des affaires, et VU a de mauvaise foi renié cet engagement.
Enfin, parce que j'en ai besoin, car j'ai quitté VU endetté, et je n'ai pas d'épargne restante. J'ai hypothéqué ma maison à Paris et oui, j'ai besoin" de ces indemnités, a affirmé M. Messier.
"Je comprends que ça puisse choquer en France"
Les indemnités de départ réclamées par M. Messier, qui s'élèvent à 20,55 millions d'euros, font actuellement l'objet d'un imbroglio juridique entre plusieurs tribunaux français et américains.
Quant au montant de ces indemnités, "je comprends qu'il puisse choquer en France, car il est très américain", a déclaré M. Messier.
"Je suis totalement à l'aise , car mes droits ont été confirmés par les tribunaux, notamment aux Etats-Unis par la Cour suprême de New York", a-t-il ajouté, en déclarant qu'il resterait "ferme" sur ce sujet.
"Prêt à participer à une médiation"
Cependant, il s'est déclaré "prêt à participer à une médiation" en France, "pour arrêter cette gabegie entraînée par les frais d'avocats et le déballage public qui n'est pas bon pour VU et pour la place financière de Paris et pour l'économie française en général".
M. Messier s'est dit "ouvert à une discussion" avec les petits actionnaires de VU, sans préciser pour autant s'il était prêt à leur céder une partie des millions d'euros en jeu.
Sans critiquer ouvertement son successeur à la tête de VU Jean-René Fourtou, il a souligné que ce dernier s'était octroyé "un million de stocks options dès son arrivée, et que cela, il ne risque pas de les perdre". "Ces primes d'arrivée sont artificielles", a-t-il estimé.
Il écarte toute idée de législation
Le thème de départ de l'audition - améliorer la gouvernance des entreprises pour éviter les dérives de rémunérations -, a été largement occulté par la question des indemnités.
Comme d'autres patrons avant lui, y compris son plus farouche opposant au conseil d'administration de VU Claude Bébéar, il a préconisé comme solution "la transparence, mais toute la transparence, sur les montants comme sur les critères de rémunérations".
Il a écarté toute idée de législation, en soulignant que "la France n'est pas un sanctuaire".
"J'ai cédé à la tentation médiatique"
Jean-Marie Messier a confessé "plusieurs erreurs à la tête de VU", notamment le fait d'avoir avoir "cédé à la tentation médiatique, "oublié la France", "sous-estimé les conséquences du 11 septembre" et d'avoir fait des erreurs dans "le timing" de certaines cessions.
Mais il a également revendiqué "des réussites", en trouvant "un peu facile de frapper un homme à terre et d'en faire un paravent pour justifier tout ce qui est arrivé".
Messier clame son droit aux indemnités
PARIS, le 15 oct (AFP) - L'ancien PDG de Vivendi Universal (VU) Jean-Marie Messier a confirmé mercredi qu'il allait continuer à se battre pour ses indemnités de départ, estimant que son groupe n'avait "pas respecté ses engagements", et il s'est déclaré prêt à participer à une médiation sur ce sujet en France.
"VU n'a pas respecté les engagements pris vis-à-vis de moi", a déclaré M. Messier lors de son audition par la commission des Lois de l'Assemblée nationale, qui étudie les conditions de rémunération des grands patrons dans le cadre d'une mission d'information sur la réforme du droit des sociétés."Il n'est pas dans mes intentions de renoncer à mes indemnités", a martelé M. Messier, qui a quitté la présidence de VU en juillet 2002.
"J'en ai besoin car j'ai hypothéqué ma maison'"
"Sur le principe, je me bats pour mes indemnités car elles sont légitimes et le fruit d'un contrat de travail et d'un accord à l'initiative des administrateurs de VU à l'époque", a-t-il dit.
"Deuxièmement, parce que le respect de la signature, c'est le respect de la base des affaires, et VU a de mauvaise foi renié cet engagement.
Enfin, parce que j'en ai besoin, car j'ai quitté VU endetté, et je n'ai pas d'épargne restante. J'ai hypothéqué ma maison à Paris et oui, j'ai besoin" de ces indemnités, a affirmé M. Messier.
"Je comprends que ça puisse choquer en France"
Les indemnités de départ réclamées par M. Messier, qui s'élèvent à 20,55 millions d'euros, font actuellement l'objet d'un imbroglio juridique entre plusieurs tribunaux français et américains.
Quant au montant de ces indemnités, "je comprends qu'il puisse choquer en France, car il est très américain", a déclaré M. Messier.
"Je suis totalement à l'aise , car mes droits ont été confirmés par les tribunaux, notamment aux Etats-Unis par la Cour suprême de New York", a-t-il ajouté, en déclarant qu'il resterait "ferme" sur ce sujet.
"Prêt à participer à une médiation"
Cependant, il s'est déclaré "prêt à participer à une médiation" en France, "pour arrêter cette gabegie entraînée par les frais d'avocats et le déballage public qui n'est pas bon pour VU et pour la place financière de Paris et pour l'économie française en général".
M. Messier s'est dit "ouvert à une discussion" avec les petits actionnaires de VU, sans préciser pour autant s'il était prêt à leur céder une partie des millions d'euros en jeu.
Sans critiquer ouvertement son successeur à la tête de VU Jean-René Fourtou, il a souligné que ce dernier s'était octroyé "un million de stocks options dès son arrivée, et que cela, il ne risque pas de les perdre". "Ces primes d'arrivée sont artificielles", a-t-il estimé.
Il écarte toute idée de législation
Le thème de départ de l'audition - améliorer la gouvernance des entreprises pour éviter les dérives de rémunérations -, a été largement occulté par la question des indemnités.
Comme d'autres patrons avant lui, y compris son plus farouche opposant au conseil d'administration de VU Claude Bébéar, il a préconisé comme solution "la transparence, mais toute la transparence, sur les montants comme sur les critères de rémunérations".
Il a écarté toute idée de législation, en soulignant que "la France n'est pas un sanctuaire".
"J'ai cédé à la tentation médiatique"
Jean-Marie Messier a confessé "plusieurs erreurs à la tête de VU", notamment le fait d'avoir avoir "cédé à la tentation médiatique, "oublié la France", "sous-estimé les conséquences du 11 septembre" et d'avoir fait des erreurs dans "le timing" de certaines cessions.
Mais il a également revendiqué "des réussites", en trouvant "un peu facile de frapper un homme à terre et d'en faire un paravent pour justifier tout ce qui est arrivé".
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