
Enviado:
25/3/2004 15:48
por MJOSE
JCS Escreveu:Não se deve por de parte que seja uma bomba da Shell...
Ou da Galp...tambèm serve,desde que seja bomba
Beijinhos

Enviado:
25/3/2004 15:23
por JCS
Não se deve por de parte que seja uma bomba da Shell...

Enviado:
25/3/2004 15:05
por Pata-Hari
quanto à parte francesa estava agora mesmo a ler as noticias. A coisa não deixa de ser hilariante apesar da seriedade. Mas é impossivel não rir, lol.
"Fort de l'expérience acquise ces dernières semaines et désormais conscient de ses faiblesses technologiques, logistiques et autres, AZF suspend son action durant le temps nécessaire pour y remédier", ajoute la lettre.".
Ou seja, fruto da experiência das ultimas semanas, o grupo, consiente das suas limitações tecnológicas logisticas e outras, suspende a sua acção durante o tempo necessário a corrigir a situação, lololol! AH, mas o detalhe mais giro é que não cedem na soma exigida e continuam a exigir o tal resgate, lolol. Digam lá que se não fosse tão sério era completamente hilariante, lol? Francês tem sentido de humor, é o que eu digo...
Aqui fica a noticia completa.
"AZF" suspend son chantage, la bombe de Troyes en cours d'analyse
PARIS, 25 mars (AFP) - Le mystérieux groupe AZF, qui fait du chantage à l'Etat depuis plus de trois mois, a annoncé jeudi la suspension de ses actions, sans pour autant cesser ses menaces, 24 heures après la découverte sur une voie ferrée près de Troyes d'un engin explosif d'origine encore indéterminée.
Dans une lettre parvenue jeudi au ministère de l'Intérieur, "AZF", qui réclame depuis la mi-décembre à l'Etat une rançon sous peine de faire sauter des bombes sur le réseau ferré, a annoncé qu'il "suspendait" son action, sans pour autant renoncer à la rançon exigée.
La menace persiste
Si celle-ci ne lui est pas payée, le groupe, qui promet sa réapparition, menace la France de "(surpasser) sans gloire les tristes records espagnols", en allusion aux attentats de Madrid qui ont fait 190 morts le 11 mars.
"Il n'y a plus à ce jour de bombes en état de fonctionner sur le réseau ferré français", assure AZF.
"Fort de l'expérience acquise ces dernières semaines et désormais conscient de ses faiblesses technologiques, logistiques et autres, AZF suspend son action durant le temps nécessaire pour y remédier", ajoute la lettre.
Le groupe affirmait jusqu'alors avoir disséminé sur les rails français 10 bombes programmées pour exploser selon un dispositif de dateur automatique.
Une bombe découverte
Cette annonce intervient 24 heures après la découverte d'un engin explosif à Montieramey (Aube), à moitié enterré entre le ballast et les rails.
Constitué "d'une boîte en plastique translucide de 20 centimètres par 20 centimètres", l'engin "contenait du nitrate fioul, une pile plate reliée à six détonateurs pyrotechniques et un détonateur transformé en inflammateur. Il y avait aussi une minuterie domestique. Un fil était désolidarisé", ce qui veut dire que l'engin n'était pas en état d'exploser, indiquaient les premières analyses fournies mercredi par le ministère de l'Intérieur.
L'engin "ne correspond pas à ce qui avait été annoncé dans les courriers signés AZF", avait souligné la place Beauvau juste après la découverte de la bombe, même si l'aspect extérieur ressemblait, selon, une source policière, à un précédent engin déposé par le groupe terroriste.
Mais seules les analyses complètes, effectuées jeudi par le laboratoire de la préfecture de police de Paris, permettront d'établir ou non un lien avec AZF, selon des sources policières.
Analyse en cours
L'analyse, effectuée par microscopie associée à un spectromètre à infrarouges, vise à identifier l'explosif sans le détruire, et voir s'il s'agit du même type de mélange que celui d'un engin qui avait été retrouvé le 21 février, sur les indications d'AZF, sous le ballast de la ligne ferroviaire Paris-Toulouse, près de Limoges. Celui-ci était composé de nitrate fioul et d'un détonateur élaboré.
L'existence du groupe avait été révélée le 3 mars. Dans une série de courriers parvenus depuis le 14 décembre à l'Elysée et place Beauvau, "AZF" menaçait de poser des bombes sur les voies ferrées et réclamait alors une rançon de 4 millions de dollars et un million d'euros.
Une opération de remise de rançon avait échoué début mars dans la région de Montargis (Loiret). Après la révélation dans la presse de l'existence d'AZF, le groupe s'était fait silencieux.
Mais les contacts avaient repris à la mi-mars, avec un nouveau courrier du groupe, et avec, les 12 et 17 mars, deux petites annonces passées dans Libération par le ministère de l'Intérieur.
Après la découverte de l'engin mercredi près de Troyes, la SNCF a annoncé une nouvelle inspection des 32.000 km de réseau ferré, comme elle l'avait fait les 3 et 4 mars.
10.000 agents participent à cette opération, qui devrait s'achever jeudi soir, selon le président de la SNCF Louis Gallois.
sic-rb-cf/bp/ide
25/03/04 10:21

Enviado:
25/3/2004 14:42
por djovarius
Sim, info, por acaso estava no ICQ com um amigo meu de lá, que me garantiu ter sido apenas uma ameaça na famosa Centraal Station - em Amesterdão.
Há também uma outra numa cidade mais pequena.
Mas até ver é só mais ameaças...
Um abraço
dj
Sabem de alguma bomba em amsterdão??..

Enviado:
25/3/2004 14:31
por Info.
.. é que apareceu isto vindo da reuters!
8:20am 03/25/04 FRENCH GROUP AZF WITHDRAWS TERROR THREAT: REUTERS
8:19am 03/25/04 BOMB THREAT CLEARS AMSTERDAM STATION : REUTERS