
Enviado:
12/3/2004 11:03
por Pata-Hari
Jarc, não é de chantagem que ainda se está a falar...
Chantagem

Enviado:
12/3/2004 10:53
por jarc
Se a chantagem

empurrasse a bolsa para baixo era vê-los a chantagear e a comprarem warrants puts.

A chantagem às vezes é uma manobra para ir sacar alguma coisita, mas tb correm o risco de ficar a ver passar os comboios - lol.

Enviado:
12/3/2004 10:38
por Pata-Hari
Foi exactamente o que me ocorreu e foi a segunda frase que escrevi no fórum quando se colocou a hipotese, à noite, de ser obra de al qaeda.
Sem dúvida que é impossivel não fazer a ligação entre os dois acontecimentos e, de repente, a história perdeu a parte engraçada e ridicula que tinha...
Racionalmente continuo a achar que é muito pouco provavél a ligação, mas aposto que quem apanhou os combóios esta manhã em frança não o fez com grande confiança.

Enviado:
12/3/2004 10:32
por Bowie
Patahari, recordas-te deste post, estranha coincidência não é?!
cump
fonte:

Enviado:
5/3/2004 16:29
por Thomas Hobbes
Noticia anterior pode ser encontrada em
WWW.diariodigital.com
AZF-Update

Enviado:
5/3/2004 16:26
por Thomas Hobbes
AZF diz ter colocado duas bombas fora da rede ferroviária
O grupo terrorista AZF diz ter colocado duas bombas fora da rede ferroviária «em lugares eleitos pela sua grande sensibilidade e pela sua débil protecção», numa carta enviada pelos chantagistas ao governo francês no passado dia 13 de Fevereiro e que é publicada esta sexta-feira no vespertino Le Monde.
«Como medida de represália, em caso de engano ou de qualquer acção, o AZF permanecerá silencioso durante 15 dias», assegura o grupo numa outra carta enviada ao Ministério do Interior a 20 de Janeiro.
Estes dados não foram revelados pelas autoridades num primeiro momento, pelo que se pensava que as nove bombas que o AZF disse ter colocado estavam todas na rede ferroviária.
A vistoria aos 32.500 km da rede ferroviária francesa foi concluída na quinta-feira sem resultados.
Numa outra carta, o grupo detalha pormenorizadamente o tipo de bombas usadas e explica que «serão activadas a cada 30 dias durante 24 horas».
Os investigadores continuam sem encontrar pistas fiáveis que levem à captura dos suspeitos.
Afastada está para já a hipótese de se tratar de um grupo terrorista islâmico ou de outro tipo. De acordo com a edição desta sexta-feira do Le Figaro, os indivíduos podem estar a ser impelidos por motivos económicos. Ainda segundo o jornal, poder-se-á tratar de uma campanha de grupos anarquistas ou, por fim, de pessoas sem motivação política, mas com desejo de vingança contra o Estado por questões pessoais.

Enviado:
3/3/2004 19:20
por Pata-Hari
Tanga ou não o governo pelos vistos ia pagar, lol...
"Une opération de remise de rançon a d'ailleurs échoué lundi après-midi dans la région de Montargis (Loiret) pour une erreur de localisation de l'endroit où devait être déposé l'argent, selon les instructions du "groupe AZF", a-t-on appris mercredi de sources proches du dossier. "
Por outro lado tb parece incrivel que não acertem com o lugar da entrega do "cacau". Caramba, francês é desorientado, distraído e meio tosco

, mas isto seria o cumulo, né? deviam ter algo em mente...
Mas...

Enviado:
3/3/2004 18:55
por Thomas Hobbes
Este grupo deve ser uma grande tanga não?
Já sabemos que o Estado Frances não deverá gastar nem um cêntimo com estes "terroristas".
Quando a nós, porque não inventar-mos um esquema de mandar as repartições de finanças pelos ares em vez dos comboios da CP

No que me toca...

Enviado:
3/3/2004 18:49
por Emanuel Santos
Espero bem que não!!! Já não basta quando eles saltam fora, sem ninguem fazer nada para isso...

Chantagem sobre as linhas dos combóios, lol

Enviado:
3/3/2004 16:29
por Pata-Hari
Isto de facto só visto... agora há um misterioso grupo que ameaça fazer explodir linhas de combóios francesas a não ser que lhes pagem umas quantias, lol....
Vai uma aposta que daqui a umas semanas temos o mesmo em portugal?
Chantage à la bombe contre rançon d'un mystérieux "groupe AZF"
PARIS, 3 mars (AFP) - Le gouvernement est en butte à un chantage - sans précédent depuis vingt ans - de la part d'un mystérieux "groupe AZF" qui menace de faire sauter une série de bombes sur les voies ferrées françaises si quatre millions de dollars et un million d'euros ne lui sont pas versés.
Une opération de remise de rançon a d'ailleurs échoué lundi après-midi dans la région de Montargis (Loiret) pour une erreur de localisation de l'endroit où devait être déposé l'argent, selon les instructions du "groupe AZF", a-t-on appris mercredi de sources proches du dossier.
Remise de rançon ratée
Cette opération manquée avait été précédée d'un échange de messages codés, via les petites annonces de Libération, pour préciser les modalités de remise de la rançon, ajoute-t-on de mêmes sources.
A l'appui de ces menaces, révélées mercredi et contenues dans des courriers adressés depuis un mois à l'Elysée et au ministère de l'Intérieur, le "groupe AZF" avait déposé un engin explosif sophistiqué découvert le 21 février par la police, sur ses indications, à une trentaine de kilomètres au nord de Limoges, à Folles (Haute-Vienne).
Une bombe découverte près de Limoges
Le dispositif découvert près de Limoges était composé d'une boîte blanche de type "tupperware" de forme ronde et légèrement bombée, d'un mélange classique nitrate-fioul, d'un détonateur élaboré et un système dateur, dispositif "digne d'un artificier, ou à tout le moins d'un élève très doué", a-t-on précisé de sources proches du dossier.
La police l'a démonté pour le tester. L'essai a permis d'établir la puissance de la bombe qui a rompu le rail sous lequel elle était placée, projetant les débris à 25 mètres de hauteur.
Eric Dénécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, interrogé par l'AFP, estime que les auteurs de ces menaces "ne sont pas des plaisantins", soulignant la sophistication de l'engin et sa puissance.
Une menace jugée "sérieuse"
Selon le directeur général de la police nationale Michel Gaudin, le gouvernement a "toujours considéré" que la menace "était sérieuse", ajoutant qu'il ne pensait pas que le "groupe AZF" soit lié "à l'islamisme ou à une filière tchétchène".
M. Gaudin a assuré "qu'il n'y avait pas a priori de mesures particulières à prendre dans les trains jusqu'à ce jour".
Le niveau d'alerte du plan Vigipirate, jaune actuellement, n'a d'ailleurs pas été modifié, car "il n'y a pas d'éléments justifiant un changement du niveau d'alerte", souligne-t-on à Matignon où l'on ne fait aucun commentaire.
Le parquet de Paris a ouvert le 18 février une information judiciaire, confiée à deux juges antiterroristes et l'enquête donnée à la Division nationale antiterroriste et à l'Office central pour la répression du grand banditisme.
Un mystérieux groupuscule
Qualifié de "groupe de pression à caractère terroriste" par le ministère de l'Intérieur, le "groupe AZF" s'est manifesté pour la première fois le 14 décembre 2003 sans proférer de menaces. Il prétend, dans ses dernières lettres, avoir disposé "dix bombes" sur le réseau ferré (31.320 km en France), équipées d'un dispositif de dateur automatique pouvant provoquer l'explosion à des dates différentes qu'il ne révèlera qu'en cas de versement de la rançon.
Aucun des éléments actuellement en possession des enquêteurs ne permet d'établir un lien entre ce "groupe AZF" et l'usine AZF de Toulouse qui avait explosé le 21 septembre 2001 (30 morts).
Un précédent en 1984
Les gouvernements français de gauche et de droite, ont fréquemment été la cible, au cours de ces vingt dernières années, de menaces terroristes (organisations corses et du Proche-Orient, GIA algérien, Carlos).
En 1984, le "groupe M-5", composé de deux jeunes hommes, arrêtés et condamnés ensuite, avait menacé de faire exploser des bombes déposées en région Rhône-Alpes pour obtenir une rançon de 30 millions de francs du gouvernement.
Enfin, le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a condamné le comportement "pas responsable", sans le citer, du quotidien régional La Dépêche du Midi, seul a révéler ce chantage.
Il a rendu "hommage à l'ensemble des journalistes qui ont accepté" de garder l'information confidentielle, comme les y avait invités le ministère, mardi après-midi, dans une "note aux rédactions"